Je me tenais en quelque sorte à un arrêt de bus … il commençait à faire noir, il était déjà tard, il n’y avait personne dans la rue, il n’y avait pas de tram comme toujours, les sacs étaient lourds …
Puis je regarde, au loin quelqu’un saute.
J’ai eu peur, je suis allé profondément dans l’arrêt et j’ai vu … un homme sautant sur un manche à balai, s’est arrêté devant moi et a dit:
– Quoi, pas de tram ?
Je me lève et dis :
Pas encore, mais le sera bientôt.
Et il:
– Il est peu probable que vous l’attendiez, le temps est plus tard, asseyez-vous, je vais vous conduire !
Je lui ai dit avec peur :
– Qu’est-ce que tu es, merci, moi-même en quelque sorte!) …
Et il est grossier avec moi :
– Montez vite, dit-il, sinon l’essence va manquer, je vais vous conduire avec la brise…
Je suis debout, mes jambes tremblent, je regarde autour de moi, pas de tram, pas de monde. Et le gars était fort … Je pense, peut-être qu’un patient d’un hôpital psychiatrique s’est échappé. Maintenant, comment va-t-il vous frapper sur la tête avec un balai ou quelque chose, et se souvenir de votre nom. Eh bien, j’ai pris mes sacs à dos, j’ai jeté ma jambe par-dessus et je me suis assis sur le balai en tant que «passager». Et nous avons roulé avec lui.
Et il me dit :- Tatie, tu ne t’assois pas simplement là, mais tu cries parfois: “Yehuuuuuuuuuuu, enfin j’ai attendu le prince sur un cheval noir” …
Ici, on saute avec lui, je crie de temps en temps, et mon cœur saute un battement de peur, je pense, maintenant on va arriver à la maison, et puis quoi ? Que lui fera-t-il faire d’autre, ou le battra-t-il du tout, car personne ne sait ce qu’il a dans la tête …
En général, nous avons fait trois arrêts avec lui, les jeunes nous prennent en photo au téléphone, les plus âgés s’éloignent dans des directions différentes …
Ils sont arrivés chez moi. Je suis descendu de mon balai et j’ai attendu avec horreur les instructions. Il me dit:
– Eh bien, merci maintenant que je suis arrivé gratuitement !).
Je lui ai dit:
– Oh, merci, monsieur, de l’avoir livré sain et sauf.
Et je regarde moi-même du coin de l’œil, avec quoi le réchauffer, le cas échéant …
Et il me fait un clin d’œil :
– Oh s’il vous plait! Puis-je vous accompagner jusqu’à votre appartement ?
Je lui ai dit:
“D’accord, merci, je vais en quelque sorte…”
Il:
– Eh bien, comme vous le souhaitez, – s’est retourné et a galopé …
Foudre j’ai couru à l’appartement. La porte a claqué, j’ai jeté les sacs, j’ai essuyé la sueur de mon visage, je m’assieds par terre, je reprends mes sens … Et puis ma fille m’a attaqué, où ils disent qu’elle a disparu, qu’elle a marché ou quelque chose comme ça!) .
“Oui,” dis-je, “j’ai couru!”
Et lui ai raconté mon aventure. C’est le matin, je vais travailler. Soudain, la sonnette retentit. Je regarde prudemment dans le judas et il y a des fleurs. J’ai expiré, je pense que c’était le petit ami qui a apporté le bouquet à ma fille tôt le matin. J’ouvre la porte, et là… cet homme est debout, avec un balai et un bouquet.Je ferme rapidement la porte et il me dit :
— Désolé, désolé, ce sont des fleurs pour toi, et il raconte.
Ils ont joué avec des amis aux cartes du désir, et il a perdu. Alors ils ont inventé cette histoire avec un balai, déterminé le lieu et l’heure de la rencontre avec une dame, et pour qu’elle accepte définitivement de monter sur un balai. C’est là que tu t’es présenté.
« Désolé, s’il vous plaît, d’avoir été stupide ! …
Maintenant, bien sûr, je me souviens de cette histoire en riant, mais au début, pendant deux semaines, je me suis promené et j’ai regardé autour de moi, comme si quelqu’un d’autre ne m’avait pas “monté” à la maison ! …